29 décembre 2006
Scusez moi, je suis en panne
C'est Noël. Une "bonne " nouvelle n'arrivant jamais seule, j'ai pu me débarrasser de Mireille Dumas et rencontrer Freud, à ceci près que ce Freud-là n'a pas de barbe et ne parle pas avec un accent viennois. Le sien serait plutôt colombien, ce qui peut engendrer quelques quiproquos linguistiques assez amusants. Depuis deux semaines, nous ne nous quittons plus... enfin, c'est moi qui suis tout le temps dans son cabinet (oui, dit ainsi, c'est moins glamour...) pour cause de rendez-vous. Je croyais n'avoir rien à dire : je n'ai pas encore fini de me rappeler mon enfance, et encore moins de la raconter. Il y a bien de l'exhumation en perspective. Cela ne me réjouit pas, et aurait même tendance à m'angoisser, mais il s'agit d'un mal nécessaire.
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